Si auparavant, la Chine était un pays très prisé pour dénicher de jolies femmes bien fraîches et super excitantes, aujourd’hui, le continent Africain est dans la ligne de mire des plus grands réalisateurs de films pornos et même des amateurs. En plus du faible coût de la main d’œuvre, il faut dire qu’elles sont tout simplement bandantes les femmes africaines. Le business du X s’y développera-t-il donc ?
Le porno : un business très lucratif
Sur le marché, il y a une forte demande d’acteurs noirs masculin et féminins. Cela est non seulement dû au coût de leur rémunération mais également à leurs courbes généreuses et leurs anatomies de rêve. Pour les personnes qui visionnent ces vidéos, une BBC ou Big Black Cock est toujours plus stimulante à voir que n’importe quelles autres ! Le Nigéria et l’Afrique du Sud sont les pays les plus concernés et où il y a le plus de postulants, toutefois, on retrouve également des pays comme le Cameroun, le Bénin ou le Togo. Pour leur apprendre le métier, il existe même des écoles qui leur montrent les caresses à faire, les types de fellation à exercer ou les positions sexuelles les plus appréciés des occidentaux.
Les freins à l’accroissement du domaine pornographique
Bien que l’Afrique soit un véritable eldorado pour dénicher des hommes et des femmes voulant se faire de l’argent grâce à la « baise », il y a certains pays qui prohibent fortement la production ou la détention de vidéos pornos. C’est un véritable paradoxe car la majorité des ménages ont accès aux chaînes du câble et peuvent très bien regarder les chaînes pour adultes sans se faire prendre. Mais comme personne n’est insensible à l’argent (surtout les responsables Africains), cette censure devrait être vite levée. Le porno aura une place de choix en termes de rentrées fiscales dans les prochaines années à venir.