Bien que les robots sexuels soient populaires dans certains pays, dans d’autres ils ne sont pas si voulus que ça ! En effet, Houston, cette ville texane, s’est opposée à ce que l’on ouvre aux USA un magasin de poupées sexuelles, représenté comme une sorte de maison close. KinkySdollS, une société canadienne située à Toronto voulait s’implanter à Houston. Leur mission ? Vendre des poupées sexuelles avec une intelligence artificielles pour les hommes qui se sentent seuls.
Une poupée au prix élevé
La société proposer des prix assez exorbitants qui feraient fuir n’importe quel citoyen lambda. En effet, il est possible de tester ces poupées avant de les acheter au prix de 3000 dollars aux environs, surtout, dépendamment des accessoires que vous allez prendre avec. On a affaire à une maison close de robots donc, même si le propriétaire de la firme se targue de dire le contraire. Il conteste formellement ces accusations. Selon lui, KikySdollS n’est qu’un magasin qui se veut de vendre des poupées, rien de plus, loin de là le proxénétisme.
Les habitants en colère
Les habitants de la ville d’Houston ne sont pas très enthousiastes à l’idée d’avoir ce type de magasin chez eux. C’est le genre de choses qui n’a rien avoir avec ce que la ville a à proposer. Le maire de la métropole texane s’oppose vraiment à cette démarche. La municipalité a donc décidé de mettre à jour une loi qui date de 20 ans relative au « commerce des activités sexuelles dans le but d’y introduire des objets technologiques ». Il affirme en public que les poupées sexuelles peuvent être commercialisées mais ne peuvent pas être utilisées. Il est non concevable d’avoir des rapports sexuels avec des choses qui ne sont pas animées. Reste à voir la suite de cette démarche de KinkySdollS. Mais là on constate donc que les robots sexuels ne sont pas si populaires que ça.