Entre les mensurations de rêve, l’origine, l’âge, les pratiques sexuelles… Il y a beaucoup de critères qui entrent en compte pour les actrices porno. Mais qu’en est-il de la gente masculine ? En effet « le hardeur » lui aussi, est soumis à certaines contraintes malgré qu’il soit considéré par certaines personnes comme le sexe faible de la pornographie. Malgré tous les clichés, certains hommes arrivent quand même à devenir des icônes dans l’industrie du X. Bien évidemment, il n’est pas question de chance ou de hasard, mais de ses prouesses et de son gabarit en général.
Du point de vue physique
Dans un premier temps, il y a d’abord la taille de son sexe. Les grandes queues ont beaucoup plus de succès que les petites. On cite entre autres, Mandingo ou Lexington Style qui ont des membres vraiment excitants. Ils ont su user leurs attributs pour se faire connaitre. Le deuxième point le plus important est la condition physique. Il faut que le mec en question ait un très bon physique : mollets, abdominaux, biceps et triceps lorsqu’il porte sa partenaire, langue pour un délicieux cunnilingus, bref autant de qualité que l’on requiert chez les hommes. Et comme la pratique du sexe met le corps à l’épreuve, il faut qu’il soit endurant et faire beaucoup de sport. Enfin, l’hygiène de vie est mise : pas d’alcool ni de tabac, pour ne pas abîmer le corps.
Du point de vue technique
Côté technique, il faut que le mec hardeur soit capable de « baiser » pendant des heures, en suivant les étapes fractionnées d’un tournage. Il faut donc avoir une érection avant chaque prise et être capable d’éjaculer sur commande. Cela est un peu complexe quand on a toute une équipe de tournage devant soi, mais c’est ça être acteur. Il faut donc un effort à la fois physique et mental. Les carrières ne sont pas un jour non ? Il faut donc de la persévérance.
